M. Jean-Marc Tison

Vétérinaire de formation, il est botaniste et taxonomiste depuis les années 1980. Considéré comme l’un des meilleurs spécialistes de la flore de France, il est notamment co-auteur de Flora Gallica et de la Flore de France méditerranéenne continentale. Il est par ailleurs spécialiste international d’un certain nombre de genres, comme Gagea et Allium, mais aussi certains genres apomictiques comme Taraxacum ou Hieracium.

Adresse : 274 impasse du Bois de Serves F-38540 Heyrieux

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Articles de l’auteur

Notes et contributions floristiques

Podospermum canum C.A. Mey. 1831, dans la Loire (région Auvergne-Rhône-Alpes) : une nouvelle espèce pour la France

Nicolas Guillerme Jean-Marc Tison

N°170 Publication : 16 décembre 2023 Rédaction : 03 octobre 2023

Podospermum canum C.A.Mey. 1831, est une espèce indigène d’Europe de l’Est, du sud-ouest de la Sibérie et du nord-ouest du Proche-Orient. L’espèce a été formellement identifiée en 2021 dans le département de la Loire. Confondue depuis toujours avec P. laciniatum (L.) DC., 1805 et toujours dénommée ainsi jusqu’en 2021, cette espèce est bien présente dans la plaine du Forez (42) au sein de plusieurs localités avec des populations importantes même si elle est en forte régression. Après une présentation de l’espèce, nous préciserons sa répartition sur le territoire de la Loire, les habitats dans laquelle elle a été observée, les menaces sur ces populations, et proposerons une clé permettant de différencier les deux espèces de Podospermum.

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Conservation

Les Gagea du Pont du Gard (30)

Mario Klesczewski Sofia Rossi Jérémie Pratviel Gilles Larnac Cyril Soustelle Emmanuel Garnier Marie-Amélie Layrolle Régis Bonhomme Philippe Baldi Jean-Marc Tison

N°105 Publication : 19 juin 2022 Rédaction : 31 mars 2022

Trois espèces de gagées, Gagea bohemica, G. luberonensis et G. lacaitae ont été découvertes dans le périmètre du « site classé du Pont du Gard » (Vers-Pont-du-Gard, 30). L’inventaire détaillé des populations et les premiers résultats d’un suivi permanent sont présentés. Une étude morphométrique illustre la variabilité du critère « largeur des feuilles basales » pour les trois taxons dans le site.

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