Originaire de Lorraine, elle réside aujourd’hui à Montpellier et travaille au sein du Conservatoire botanique national méditerranéen de Porquerolles. Elle étudie les végétations de l’ex-région Languedoc-Roussillon dans le but de faciliter la préservation des milieux naturels.
Organisme : Conservatoire botanique national méditerranéen de Porquerolles
Adresse : Parc scientifique Agropolis, bât 7 - 2214 boulevard de la Lironde F-34980 Montferrier-sur-Lez
Le genre Rubus, en raison de sa complexité, est souvent délaissé par les botanistes malgré son potentiel d’étude intéressant. Pour remédier à ce désintérêt et encourager les échanges sur ce genre, un groupe dédié à la batologie a vu le jour au sein de la Société botanique d’Occitanie en 2021. Après une première session de terrain en 2021 dans le Haut-Languedoc, une deuxième session a été organisée du 14 au 16 juillet 2022 dans la Montagne Noire (départements de l’Aude, du Tarn et de l’Hérault) avec de nouveaux participants. Elle avait pour objectifs de partager les méthodes de collecte et d’identification, de redécouvrir certains taxons rencontrés l’année précédente et de nommer les nouveaux taxons rencontrés. Les prospections ont été fructueuses avec quinze espèces identifiées et nommées, dont douze déjà vues l’année précédente. Les échanges entre les participants ont contribué à enrichir les connaissances tout en nourrissant un intérêt grandissant pour la batologie. En outre, une clé de détermination des Rubus Homalacanthes du secteur est proposée.
Lire l'article Télécharger l'article[PDF]Le genre Rubus est souvent négligé par les botanistes à cause de sa complexité malgré l’intérêt que présente son étude. Pour remédier à cette désaffection et favoriser les échanges autour de ce genre, un groupe dédié à la batologie a vu le jour au sein de la Société botanique d’Occitanie. La session organisé dans le Haut-Languedoc (départements du Tarn et de l’Hérault) du 12 au 14 juillet 2021 avait pour objectifs de partager des éléments sur la méthodologie de récolte et d’identification et de tenter de nommer quelques-uns des taxons rencontrés. Les prospections se sont révélées fructueuses avec dix-huit espèces identifiées et nommées, certaines non revues depuis longtemps. Les échanges entre les participants ont permis une mise à niveau des connaissances tout en nourissant une motivation croissante pour la batologie. Une clé de détermination des Rubus homolacanthes du secteur est proposée.
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