Molènes hybrides de France, 23 - Verbascum ×laramberguei Rouy (V. boerhavii L. × V. thapsus L.)
Title
Hybrid mulleins of France, 23 - Verbascum ×laramberguei Rouy (V. boerhavii L. × V. thapsus L.)
Résumé
L’hybride Verbascum boerhavii × V. thapsus a récemment été observé à Poussan dans l’Hérault. Un néotype est désigné. La morphologie de cet hybride est comparée à celle de ses parents grâce à un tableau illustré et commenté. Des cartes de répartition potentielle sont proposées.
Abstract
The hybrid Verbascum boerhavii × V. thapsus was recently observed in Poussan in the Hérault department. A neotype is designated. The morphology of this hybrid is compared with that of its parents using an illustrated table with comments. Potential distribution maps are proposed.
1. Préambule
Depuis son démarrage début 2022, le projet Molènes hybrides de France a mené à la description illustrée de plus de vingt nothotaxons du genre Verbascum. Après les prospections plutôt aléatoires des deux premières années et les recherches plus ciblées de l’année 2024, nous ne nous attendions plus vraiment à des découvertes près de notre base montpelliéraine. Pourtant, au retour d’une journée de terrain dans l’ouest de l’Hérault ce printemps, une molène particulièrement grande et abondamment ramifiée nous a fait de l’œil depuis un talus d’autoroute à Poussan (photo 1). Par principe, nous sommes allés la voir dans la foulée, ce qui a tout d’abord permis de confirmer sa taille impressionnante, dépassant les deux mètres de hauteur, et ensuite de constater une combinaison singulière de critères morphologiques comme les feuilles basales pétiolées, les caulinaires nettement décurrentes et les poils des filaments partiellement violets. Comme souvent, plusieurs espèces de molènes se côtoyaient dans ce secteur, à savoir V. boerhavii, V. sinuatum et V. thapsus. Cette dernière espèce est bien rare dans les plaines méditerranéennes, mais sa contribution à cet hybride ne faisait aucun doute au vu de la décurrence partielle des feuilles caulinaires. Restait à cerner le second parent aux poils filamentaires violets. Les feuilles nullement sinuées, les rameaux dressés et relativement épais ainsi que les taches pourpres au centre de la corolle nous ont vite convaincus de la participation de la molène de Boerhave.
2. Présentation de l’hybride
2.1. Historique
En 1856, Henri de Larambergue décrit « Verbascum Thapso-Boerhaavii » (photo 2), à partir d’une plante observée en 1855 dans le Sidobre, près de Brassac (Tarn). L’auteur ne propose pas d’épithète nothospécifique pour cet hybride et la seule formule hybride associée à un nom de genre ne constitue pas un nom valide (ICN, Turland et al., 2019, Art. H.10.2).
Cette première description du nothotaxon évoque plusieurs critères morphologiques importants :
- épis longs et grêles ;
- feuilles radicales assez longuement pétiolées ;
- feuilles caulinaires sessiles, toutes plus ou moins décurrentes ;
- fleurs en glomérules espacés à la base de l’épi ;
- corolle jaune avec tache pourpre à la gorge ;
- filets des étamines munis de poils violets ;
- pilosité jaunâtre.
En 1909 paraît le tome 11 de la Flore de France de Rouy traitant, sur ses trente premières pages, du genre Verbascum. L’auteur y détaille aussi les hybrides connus à l’époque, parmi lesquels celui pour la paire Verbascum boerhavii et V. thapsus à laquelle il attribue le nom Verbascum ×laramberguei Rouy (photo 3). Il s’agit ici de la première publication valide du nom Verbascum ×laramberguei Rouy. Il est accepté par l’ensemble des ouvrages et sites de référence, notamment Murbeck (1933), Kerguélen (1999), Plants of the World Online (POWO, 2025), le Global Biodiversity Information Facility (GBIF Secretariat, 2025) et l’Inventaire national du patrimoine naturel (MNHN & OFB, 2003-2025).
Rouy n’a pas lui-même observé l’hybride et ne reprend que deux éléments fournis par de Larambergue (1856) :
- port et inflorescence semblables à ceux de boerhavii ;
- feuilles décurrentes et tomentum de thapsus.
Au vu de la morphologie habituellement intermédiaire entre celles des espèces parentes, il paraît probable que l’hybride produise des feuilles caulinaires seulement partiellement décurrentes et une pilosité moins dense que celle de V. thapsus. Les critères « port » et « inflorescence », quant à eux, sont extrêmement variables chez les deux espèces parentes. V. boerhavii produit majoritairement des inflorescences simples, mais les individus à tige fortement ramifiée ne sont pas rares.
2.2. Typification de Verbascum ×laramberguei Rouy
D’après nos recherches, aucun auteur n’a encore désigné un quelconque type du nom Verbascum ×laramberguei. Au vu de notre objectif d’amélioration des connaissances des molènes et de leurs hybrides en France, il nous a semblé pertinent de procéder à la typification de ce nothotaxon.
Rouy (1909) est descripteur du nothotaxon mais ne fait référence à aucun spécimen particulier. Sur les sites avec spécimen consultables en ligne (Recolnat, 2025 ; GBIF Secretariat, 2025 ; Sweden’s Virtual Herbarium, 2025), seulement cinq spécimens de cet hybride sont inventoriés, tous récoltés par le frère Sennen en Catalogne (tableau 2). Les trois échantillons en provenance de Llivia sont particulièrement intéressants dans la mesure où Murbeck (1933 : 161) les a étudiés, commentés et confirmés. De ce fait, il nous paraît pertinent de sélectionner un de ces spécimens pour la typification.
Nous désignons ici le spécimen LD2208714 comme néotype du nom Verbascum ×laramberguei Rouy, 1909 (photo 4). Ce néotype permet d’observer l’ensemble des critères morphologiques, et notamment les critères distinctifs suivants :
- feuilles radicales et caulinaires inférieures ovales-élargies, nettement pétiolées, régulièrement crénelées ;
- feuilles caulinaires moyennes et premières bractées nettement décurrentes sur 1 à 2 cm ;
- inflorescence en grappe lâche à sa base, dense en partie distale ;
- fleurs fasciculées, relativement grandes ;
- plante couverte d’un tomentum assez dense, grisâtre.
Par ailleurs, Murbeck (1933) a décrit la couleur des poils filamentaires comme d’un violet clair et a évalué le taux des grains de pollen mal formés entre 80 et 95 %.
2.3. Synthèse des données taxonomiques
Nom valide : Verbascum ×laramberguei Rouy, 1909
Formule hybride : V. boerhavii L. × V. thapsus L.
Synonyme : V. Thapso-Boerhaavii (Larembergue, 1856)
Néotype (désigné ici) : LD2208714 (photo 4)
Adresse web du scan : https://www.botmus.lu.se/Lund/Images/2208714.jpg
Nom vernaculaire : Molène de de Larembergue (MNHN & OFB, 2003-2025)
2.4. Comparaison morphologique illustrée
Ci-dessous, les critères morphologiques distinctifs sont présentés sous forme de tableau illustré, avec comparaison des deux taxons parents (tableaux 1a à 1h).
En résumé, V. ×laremberguei est caractérisé par sa taille pouvant dépasser les 2 m, ses grandes feuilles larges un peu crénelées (voir aussi photo 5), les basales et caulinaires inférieures longuement pétiolées, ses feuilles caulinaires moyennes et supérieures nettement décurrentes, ses inflorescences ramifiées, à rameaux dressés et glomérules peu denses à la base mais assez denses plus haut, ses corolles à petite tache centrale pourpre, ses poils des filets à dominance pourpre, ses stigmates capités et ses capsules en partie avortées.
3. Autres risques de confusion
La molène de de Larambergue nous paraît morphologiquement proche de deux autres hybrides également très grands et à feuilles caulinaires semi-décurrentes, Verbascum ×longeracemosum (V. sinuatum × V. thapsus ; Klesczewski & Niebler, 2025) et V. ×pseudosinuatum (V. phlomoides × V. sinuatum ; Klesczewski & Rossi, 2023). Ces hybrides ont toutefois des feuilles en partie sinuées et des corolles à centre beaucoup plus clair que V. ×laramberguei vu qu’il leur manque les macules pourpres à la base des pétales.
4. Stations connues
La recherche de parts d’herbiers à l’aide des bases de données en ligne Recolnat et GBIF n’a donné que très peu de résultats (tableau 2). Historiquement, aucune station française n’était documentée par un spécimen d’herbier.
La station observée dans l’Hérault en juin 2025 est détaillée en tableau 3. Nos échantillons intégrés à l’herbier général de l’Herbier de l’Université de Montpellier (MPU) constituent les seules parts d’herbier récoltées en France actuellement connues.
Avec seulement trois localités avérées dont deux historiques, Verbascum ×laramberguei apparaît comme un nothotaxon très méconnu.
5. Répartition : synthèse
Le niveau de connaissance au sujet de la répartition globale de Verbascum ×laramberguei est très faible. Ainsi, la Global Biodiversity Information Facility (GBIF Secretariat, 2025 ; carte 1) ne recense que quatre données en France et Plants of the World Online (POWO, 2025 ; carte 2) n’affiche également que l’hexagone.
En France, l’hybride Verbascum boerhavii × V. thapsus est connu depuis le xixe siècle, mais n’a été observé que très rarement. Rouy (1909 ; photo 3) n’indique sa présence que dans la localité originelle dans le Tarn et dans une station inventoriée par Diomède Tueskiewicz à Arphy, sur le versant sud du massif de l’Aigoual. Peu après la parution de la flore de Rouy, Eugène Pagès (1914) publie la première observation du nothotaxon dans l’Hérault (« Le Bouis, roche calcaire de la Devèze, 7 avril 1912 » ; voir aussi Andrieu & Salabert, 2011).
Seule la Global Biodiversity Information Facility (GBIF Secretariat, 2025) indique une donnée récente. Il s’agit d’une observation réalisée par Roselyne Guizard, Jean-Pierre Roux et Mireille Tronc sur la commune d’Orange (dép. Vaucluse, région Provence-Alpes-Côte-d’Azur). Malheureusement, aucun élément concret (spécimen d’herbier, photographie) n’accompagne cette donnée (R. Guizard & J.-P. Roux, comm. pers.), et le secteur n’a pas pu être reprospecté depuis.
Au-delà de la flore de Rouy (1909), aucun autre catalogue national ne cite la molène de de Larambergue. Notamment, les travaux récents concernant la péninsule Ibérique (Benedi, 2009 ; Sáez & Aymerich, 2021) et l’Italie (Béguinot, 1900-1902) ne la mentionnent pas.
D’après Jeanmonod et Gamisans (2013), le nothotaxon est signalé en Corse, mais nous n’avons pas trouvé d’autre indication bibliographique à ce sujet.
Quant à Murbeck (1933 : 161), il décrit les échantillons récoltés par le frère Sennen à Llivia et cite les données historiques françaises, mais ne l’a lui-même jamais observé.
Un premier recoupement grossier, par mailles de 100 km de carré, des zones de présence des deux espèces parentes (données GBIF.org, [20.05.2024, 02.08.2025]) montre une aire potentielle de V. ×laramberguei ouest-européenne, depuis la péninsule Ibérique jusqu’en Italie (carte 3). Le point en Afrique du Nord quant à lui est probablement erroné. Au vu de la quasi-omniprésence de V. thapsus, cette carte équivaut à quelques mailles près à l’aire de répartition de V. boerhavii, à l’image de la molène du Roussillon, un autre hybride avec ce parent (V. ×ruscinonense; Klesczewski et al., 2024).
Nous avons ensuite affiné cette analyse à l’échelle de la France, en réduisant la taille des mailles à 10 km * 10 km (carte 4). Cette seconde analyse met en évidence des zones de présence potentielle assez vastes, notamment en France méridionale et jusqu’en Corse.
6. Perspectives
L’espoir est permis que des prospections ciblées à l’aide des critères de reconnaissance mis en évidence dans le tableau 1 permettent la détection d’autres stations. Dans cet objectif, les montagnes méditerranéennes et leurs contreforts pourraient être prospectées de façon prioritaire, puisque c’est dans ces zones que les deux espèces parentes se côtoient assez fréquemment. La Corse, pour laquelle l’hybride est mentionné sans précision, mériterait également une attention particulière par rapport à la molène de de Larambergue, et pour les molènes hybrides de manière plus générale d’ailleurs.
Nous réitérons nos encouragements aux personnes réalisant des observations botaniques en France à nous envoyer leurs photos de molènes potentiellement hybrides. Depuis bientôt trois ans, près de vingt-cinq hybrides ont été inventoriés avec l’aide des botanistes ayant eu la gentillesse de transmettre des observations. À ce rythme, et à l’aide de prospections ciblées voire d’hybridations assistées, il paraît possible que la douzaine d’hybrides manquante soit observée au cours des deux saisons à venir. Le projet de monographie du genre pourrait ainsi aboutir dans un délai raisonnable.
Annexe : présentation de J.-H. Gazel de Larambergue (1808-1883)
Sources : Dayrat (2003) ; IPNI (2025) ;
https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Gazel_de_Larambergue
Jean Henri Gazel de Larambergue (né le 13 juillet 1808 à Lacaune et mort le 13 mars 1883 à Toulouse) est un botaniste tarnais du xixe siècle. Né dans une famille noble protestante, il se passionne assez tôt pour la botanique. C’est un des membres fondateurs de la Société littéraire et scientifique de Castres, qui est créée en 1856. Pour le compte de cette organisation, il publie la Note sur certaines plantes de l’arrondissement de Castres (1859), où il énumère 92 espèces rares de la région, ainsi que l’Essai de géographie botanique du Tarn (1860), où il dresse une liste de chaque végétal observé dans le département du Tarn, soit 1 782 espèces. En juin 1859, alors qu’il habite à Angles-du-Tarn, il découvre une nouvelle espèce, Leucanthemum subglaucum.
Verbascum × laramberguei est le seul taxon qui lui soit dédié.
Bibliographie
Andrieu F. & Salabert J., 2011. Actualisation de la « florule de la vallée supérieure de la Mare et des environs » de E. Pagès ; un siècle de botanique en Haut-Languedoc. Parthénope, Biotope, Mèze, 248 p.
Béguinot A., 1900-1902. Verbascum L. In A. Fiori & G. Paoletti, Flora analitica d’Italia ossia descrizione delle piante vascolari indigene inselvatichite e largamente coltivate in Italia disposte per quadri analitici / dei dottori Adriano Fiori e Guilio Paoletti continuata dai dottori Adriano Fiori, Prof. nel R. Instituto Forestale di Vallombrosa, ed Augusto Béguinot – Primo Ass. Inst. Bot. dell’Univ. di Padova ; II – Tipografia del seminario, Padova : 407-417.
Benedi C., 2009. Verbascum L. In C. Benedí, E. Rico, J. Güemes & A. Herrero (eds.), Flora Iberica – Plantas vasculares de la Península Ibérica e Islas Baleares, XIII – Plantaginaceae-Scrophulariaceae, Éd. Real Jardín Botánico, CSIC, Madrid : 49-97.
Dayrat B., 2003. « L’âge d’or (1790-1850) ». Les botanistes et la flore de France, Publications scientifiques du Muséum, https://doi.org/10.4000/books.mnhn.1926.
GBIF.org [20.05.2024]. GBIF Occurrence Download, https://doi.org/10.15468/dl.k4sqsy [Verbascum boerhavii].
GBIF.org [02.08.2025]. GBIF Occurrence Download, https://doi.org/10.15468/dl.6xjzy7 [Verbascum thapsus].
GBIF Secretariat, 2025. Verbascum ×laramberguei Rouy in GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org [10.06.2025].
IPNI, 2025. International Plant Names Index. Published on the Internet http://www.ipni.org, The Royal Botanic Gardens, Kew, Harvard University Herbaria & Libraries and Australian National Herbarium [08.08.2025], https://www.ipni.org/a/2093-1.
Jeanmonod D. & Gamisans J., 2013. Flora Corsica, deuxième édition. Bulletin de la Société botanique du Centre-Ouest, n. s., numéro spécial 39 : 1-1 072.
Kerguélen M., 1999. Index synonymique de la Flore de France, https://www2.dijon.inrae.fr/flore-france/.
Klesczewski M. & Rossi S., 2023. Molènes hybrides de France, 4 – Verbascum ×pseudosinuatum Hausskn. (V. phlomoides L. × V. sinuatum L.). Carnets botaniques 148 : 1-12, https://doi.org/10.34971/7N95-SE03.
Klesczewski M., Pegatoquet E. & Giardi L., 2024. Molènes hybrides de France, 15 – Verbascum ×ruscinonense Rouy (V. boerhavii L. × V. sinuatum L.). Carnets botaniques 223 : 1-12, https://doi.org/10.34971/E5G1-GZ38.
Klesczewski M. & Niebler F., 2025. Molènes hybrides de France, 18 – Verbascum ×longeracemosum Chaub. ex St.-Amans (V. sinuatum L. × V. thapsus L.). Carnets botaniques 237 : 1-18, https://doi.org/10.34971/9SYY-RE33.
Larambergue H. (de), 1856. Sur un nouveau Verbascum hybride. Bulletin de la Société botanique de France 3 : 159-160.
MNHN & OFB [eds], 2003-2025. Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), https://inpn.mnhn.fr/espece/cd_nom/128705/tab/fiche [10.06.2025].
Murbeck S., 1933. Monographie der Gattung Verbascum. Lunds Universitets Årsskrift, N. F., Avd. 2, 29 (2) : 1-628, XXXI tab., https://bibdigital.rjb.csic.es/en/records/item/12451-monographie-der-gattung-verbascum?offset=2.
Pagès E., 1914. Géologie du Canton de St.-Gervais-sur-Mare (Hérault). Bulletin de Géographie botanique 24 : 156-171, https://bibdigital.rjb.csic.es/viewer/12801/?offset=#page=179&viewer=picture&o=bookmark&n=0&q=.
POWO, 2025. Plants of the World Online. Facilitated by the Royal Botanic Gardens, Kew. Published on the Internet, http://www.plantsoftheworldonline.org/ [10.06.2025].
Recolnat, 2025, https://www.recolnat.org/fr/ [12.07.2025].
Rouy G., 1909. Flore de France ou description des plantes qui croissent spontanément en France, en Corse et en Alsace-Lorraine, XI. Société des sciences naturelles de la Charente-inférieure, 429 p.
Sáez L. & Aymerich P., 2021. An annotated Checklist of the Vascular Plants of Catalonia (northeastern Iberian Peninsula). Kit-book Serveis Editorials, Barcelona, 717 p., https://bibdigital.rjb.csic.es/idurl/1/1765134.
Sweden’s Virtual Herbarium, 2025, http://herbarium.emg.umu.se/index.html [02.08.2025].
Turland N.J., Wiersema J.H., Barrie F.R., Greuter W., Hawksworth D.L., Herendeen P.S., Knapp S., Kusber W.-H., Li D.-Z., Marhold K., May T.W., McNeill J., Monro A.M., Prado J., Price M.J. & Smith G.F. (eds.), Loizeau P.-A., Maeder A. & Price M.J. (trad.), 2019. Code international de nomenclature pour les algues, les champignons et les plantes (Code de Shenzhen) adopté par le dix-neuvième Congrès international de Botanique, Shenzhen, Chine, juillet 2017. Publication hors-série des Conservatoire et Jardin botaniques de la Ville de Genève 19, Genève, 228 p., doi 10.5281/zenodo.2558299.
Remerciements
Nous tenons à remercier les personnes suivantes pour leur aide essentielle : Patrik Frödén (Herbarium Lund ; recherche de spécimen, envoi de photos), Frédéric Andrieu (envoi de bibliographie et d’informations), Roselyne Guizard et Jean-Pierre Roux (renseignements sur leur observation), Quentin Loquay (envoi de bibliographie), Caroline Loup (Herbier de l’université de Montpellier, MPU) pour la gestion et le scan des spécimens, Bruno de Foucault (relecture). Merci aussi à Recolnat (ANR-11-INBS-0004 ; https://www.recolnat.org/fr/) qui nous a permis la recherche efficace de spécimens en ligne, ainsi qu’à la Biodiversity Heritage Library (BHL) at Smithsonian Libraries and Archives (Washington, D.C., USA) dont le site www.biodiversitylibrary.org rend les références bibliographiques anciennes si facilement et librement accessibles.



















